Expression idiomatique – Give it a fight

Voici l’expression idiomatique de cette semaine :

 

Give it a fight

You have a dream, you want to succeed, sometimes you don’t know what to do… but it is important to continue.

You can give it a fight and continue your work.

If you decide to give up the fight, you are going to stop, you are going to quit. Please, don’t give up the fight!

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Therefore, you can say: « I won’t give up without a fight. »:

Fig. I will not give in easily. (Compare this with Don’t give up too eas(il)y.) Sue: Stick by your principles, Fred. Fred: Don’t worry, I won’t give up without a fight. Bob: The boss wants me to turn the Wilson project over to Tom. Sue: How can he do that? Bob: I don’t know. All I know is that I won’t give up without a fight.

See also: fight, give, up, without

McGraw-Hill Dictionary of American Idioms and Phrasal Verbs. © 2002 by The McGraw-Hill Companies, Inc.

Yes, I Can do it!

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Expression idiomatique – Over the moon

Voici une expression idiomatique associée à la lune :

Today’s idiom is really easy to understand !

To be over the moon

When you are over the moon, you are extremely happy about something!

You feel as if you could jump… over the moon with joy!

 

Examples:

Sam told her: “Close your eyes and give me your hand please, I have a surprise for you!” She felt something in her hand. When she opened her eyes, she was holding a red rose. On the rose, there was an engagement ring. He said: “Darling, will you marry me?” Heather was so happy, she was over the moon!

Lucy was over the moon with her new car.

Expression idiomatique – Get wind of something

Voici une expression idiomatique associée à la température :

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get wind of something

In this expression, in fact, the wind brings a message. Very often, it is a rumor or a gossip.
Can you understand this definition?

 

get wind of something

and catch wind of something
Fig. to learn of something; to hear about something. The police got wind of the illegal drug deal. John caught wind of the gossip being spread about him.
See also: get, of, wind
McGraw-Hill Dictionary of American Idioms and Phrasal Verbs. © 2002 by The McGraw-Hill Companies, Inc.

get wind of something

to learn about something secret As soon as we got wind of the concert, I ordered tickets.
See also: get, of, wind
Cambridge Dictionary of American Idioms Copyright © Cambridge University Press 2003. Reproduced with permission.

get wind of something

to hear a piece of information that someone else was trying to keep secret I don’t want my boss to get wind of the fact that I’m leaving so I’m not telling many people.
See also: get, of, wind
Cambridge Idioms Dictionary, 2nd ed. Copyright © Cambridge University Press 2006. Reproduced with permission.

get wind of

Learn of; hear a rumor about. For example, « If my old aunt gets wind of it, she’ll cut me off with a shilling » (William Makepeace Thackeray, in Paris Sketch Book, 1840). This expression alludes to an animal perceiving a scent carried by the wind. [First half of 1800s]
See also: get, of, wind
The American Heritage® Dictionary of Idioms by Christine Ammer. Copyright © 2003, 1997 by The Christine Ammer 1992 Trust. Published by Houghton Mifflin Harcourt Publishing Company. All rights reserved.

 

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Témoignage de Marco Champagne, directeur général (SPA Mauricie)

 

Marco a terminé son cours en mars 2016

Avant de prendre des cours à l’Académie Doyle, j’avais déjà suivi un programme intensif de 5 semaines à l’Université de Victoria en 2008 et en 2009 j’avais en plus suivi des cours privés de 2 heures par semaine pendant toute une année. Je n’étais pas vraiment satisfait des résultats. J’étais curieux quand j’ai vu une publicité sur LinkedIn. Je voulais en savoir plus.

J’aime apprendre. J’ai donc choisi le cours pour le plaisir d’apprendre et pour le développement de ma carrière à long terme. Je me suis rapidement rendu compte que l’on apprend beaucoup que l’anglais à l’Académie Doyle.

Je suis vraiment très satisfait de mes progrès et surtout de la bonne chimie d’équipe qui s’est créée pendant ses 152 heures de formation. J’ajoute que cette méthode fonctionne très bien, parce qu’elle est bâtie sur une séquence parfaite pour l’apprentissage. En effet, la méthode de l’Académie Doyle m’a permis de devenir très fluide en anglais après environ les deux tiers du programme. Pourquoi ça fonctionne? Parce que les résultats y sont, tout simplement!

 

Le rythme d’apprentissage très soutenu permet à quiconque qui est sérieux dans le processus de se développer rapidement avec succès. Le fait d’être en équipe permet de progresser plus rapidement à mon sens car nous sommes rapidement en mesure de voir les lacunes des autres et les aider à s’améliorer, bref il s’agit d’un travail d’équipe!

Ce qui m’a fait le plus plaisir dans ce cours, c’est la satisfaction d’avoir réussi finalement dans le temps requis selon l’Académie Doyle, soit en 152 heures. « What you see is what you get ». Au début, j’étais sceptique, mais je me suis vite rendu compte que la méthode de l’Académie Doyle fonctionne vraiment! Comme sa fondatrice Susan Doyle le dit si bien : « C’est l’apprentissage Permanent des Langues© selon les neurosciences! ». Je recommande à tous les gens sérieux de courir s’inscrire!

 

Marco Champagne CPA CA
Directeur général, SPA Mauricie

Ligne directe : 819 376-0806, poste 225
Téléphone cellulaire : 819 244-4450
www.spamauricie.comFacebook

Un mot de vocabulaire pour Noël!

Pour le temps des fêtes, nous avons pensé vous offrir un mot de vocabulaire que peu de gens connaissent au Québec : «Mistletoe» ! Vous pouvez voir l’image ci-dessous ainsi que sa définition en anglais. À l’Académie Doyle, vous ne faisons pas la promotion de la traduction. Nous croyons sincèrement qu’en regardant cette image et en lisant attentivement cette définition, vous comprendrez de quoi il s’agit. Si vous n’avez pas compris, n’hésitez pas à nous poser des questions! Joyeux Noël !

 

 

mis • tle • toe

ˈmɪslˌtoʊ / noun [ uncountable ]
A plant with small, shiny, white berries ( berry ) that grows on other trees and is often used as a decoration at Christmas
the tradition of kissing under the mistletoe
Oxford University Press, 2011

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Apprendre correctement les temps des verbes avec des outils performants

 

Quelle est la plus grande problématique des apprenants en anglais? De façon générale, c’est la maîtrise des temps des verbes. Année après année, peu importe l’âge des personnes évaluées, un même constat : les gens connaissent des mots de vocabulaire et des expressions idiomatiques, mais ils ont beaucoup de mal à articuler leurs idées parce que les temps des verbes ne sont pas compris.

Les temps des verbes sont l’épine dorsale d’une langue… de n’importe quelle langue. Le verbe oriente, rythme et propulse la phrase. Il permet de plus de donner un sens à ce que l’on dit ou écrit. Pourquoi les francophones ont-ils tellement de difficultés à comprendre les temps des verbes? La plupart d’entre eux traduisent du français vers l’anglais et de l’anglais vers le français. C’est une bataille perdue d’avance. La fluidité est impossible.

Pourquoi?

Serait-il possible que les méthodes traditionnelles enseignent les verbes de l’extérieur vers l’intérieur plutôt que de l’intérieur vers l’extérieur?

Se pourrait-il que les bénéfices de faire des exercices grammaticaux soient limités?


Comment se fait-il que, dans les méthodes d’enseignement traditionnelles, il n’y a pas davantage de rétention des contenus à moyen et à long terme?

Croyez-le ou non, il y a une légère différence entre les langues, dans la manière d’exprimer le temps. Il y a environ 7 000 langues différentes autour du monde. Chacune apporte des nuances différentes à l’expérience humaine. Chacune met l’accent sur des éléments plutôt que sur d’autres. L’exemple le plus facile à décrire, c’est la perception du temps. Considérons l’espagnol, le français, et l’anglais. Nous avons là les principales langues des Amériques.

Commençons par un exemple. Avez-vous déjà vu une émission de télévision américaine au sujet de la rénovation? (elles sont le plus souvent traduites de l’anglais) Un voir une, c’est les voir toutes. Ils entreprennent toujours une course contre la montre. Les protagonistes ont un projet à réaliser dans un temps imparti. Tout le monde se questionne sur la faisabilité du projet dans un temps donné! Le temps perdu met en péril le résultat.

Vraiment?

Le temps règle la vie des anglophones, comme du papier à musique. J’utilise le verbe spend (dépenser) non seulement pour l’argent mais aussi pour le temps. La perception de la valeur du temps est plus importante en anglais qu’en français ou en espagnol. La preuve? Nous pouvons en parler à chaque fois que nous allons en Espagne ou en Amérique du Sud. Le rythme de la vie est différent. Par exemple, la ponctualité à un rendez-vous n’est pas vraiment importante. Les critères d’évaluation d’un bon employé ne sont donc pas les mêmes!

À l’Académie Doyle, parce que nous définissons comment obtenir l’Apprentissage Permanent des Langues©, nous avons développé des outils vraiment performants pour obtenir la maîtrise des temps des verbes. Nous les étudions un par un. Nous leur attribuons une couleur. Nous les mettons en relation les uns avec les autres. Nous les regardons vivre dans des exemples. Mais surtout, nous les regardons décrire notre vie et nos propres expériences.


Parler de soi, de notre propre vie, nous l’avons déjà vu, c’est vivre une catharsis. L’étudiant se rend compte du raisonnement de la langue à partir de sa propre expérience de vie. En soulignant les temps des verbes de la couleur appropriée, en comparant son résultat avec la Charte des temps de Verbes que nous avons élaborée, l’étudiant vit sa vie en anglais. Il peut parler de lui-même correctement. Petit à petit, il se met à vivre dans la langue, à penser comme les anglophones le font.


Les neurosciences nous ont guidées dans l’élaboration d’outils performants. Nous apprenons la langue de l’intérieur vers l’extérieur (par des exemples tirés de notre vie) et non pas de l’extérieur vers l’intérieur (par des exemples tirés des livres).

Vivre des émotions tout au long du cours dans sa propre vie

 

Nous sommes uniques. À chaque étape de notre vie, des rencontres, des événements, des lectures et des prises de conscience font que nous sommes qui nous sommes.

Travailler avec sa propre vie et vivre des émotions.

Nous avons vu au chapitre 3, comment les cours traditionnels ne sont pas adaptés à l’apprentissage d’une langue. En effet, après avoir bien réussi à n’importe quel examen final, nous expérimentons une perte graduelle de nos acquis, si bien que, 6 mois après la fin du cours, nous ne nous souvenons plus de 60% à 70% de ce que nous avons appris. Zut! Si j’apprends une langue, j’ai besoin de me souvenir de mes acquis. Je veux les utiliser dans la conversation, la lecture et l’écriture. Alors, comment faire?

Depuis 11 ans, nos propres recherches scientifiques démontrent hors de tout doute que l’apprentissage centré sur l’expérience de vie de l’étudiant ainsi que sur ses émotions, permet une rétention optimale et ce, sans mémorisation?

 


Nous allons donc choisir des sujets qui feront vibrer nos étudiants. Qu’ils soient choisis dans l’actualité ou le fil des nouvelles, qu’ils soient rattachés à des valeurs qui les caractérisent, nous voulons que nos étudiants soient émus ou touchés. Pourquoi? À chaque jour, nous sommes bombardés par toutes sortes d’informations. En fait, dans une journée de travail active, nous en recevons des centaines, voire des milliers. Nous oublions la grande majorité de ces informations : soit qu’elles ne représentent rien pour nous ou qu’elles ne sont simplement pas utiles.

Même si nous oublions la majorité de nos expériences au quotidien, les recherches démontrent que l’éveil des émotions permet un meilleur stockage de la mémoire. Par le fait même, nous pouvons créer de manière sélective des souvenirs durables de nos expériences les plus significatives. Les systèmes neurobiologiques qui servent d’intermédiaire entre les émotions et la mémoire sont reliés très étroitement. Les surrénales, hormones du stress épinéphrine et le corticostérone qui sont émises à l’éveil des émotions, régulent la consolidation de la mémoire à long terme. Des recherches ont démontré, et nous l’avons déjà vu,  que l’amygdale joue un rôle critique à la fois chez les animaux et chez les humains : les expériences émotionnelles sont mieux retenues.

Des recherches plus récentes ont démontré que les personnes qui ont une mémoire autobiographique supérieure de leurs expériences quotidiennes, présentent des structures différentes dans leur cerveau quand on les compare aux gens qui n’ont pas beaucoup de ces souvenirs. Nous nous rappelons que c’est vraiment ce que nous voulons développer chez nos étudiants : des nouvelles connexions neurologiques.

 

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Making lasting memories: Remembering the significant James L. McGaugh
Columbia University Press November 2006 ISBN: 9780231120234 192 Pages


Voilà la raison pour laquelle à l’Académie Doyle, pour l’Apprentissage Permanent des Langues©, nous travaillons continuellement dans ce sens et révisons continuellement nos contenus afin de les rendre plus significatifs. De plus, dans la dernière partie de cours Vers l’Autonomie, nous revoyons avec nos étudiants les grandes étapes de leur vie ainsi que les moments les plus significatifs.

Le phénomène Trump : Prendre tous les moyens, bons ou mauvais, pour gagner.

 

Les Américains ont-ils élu un vilain à la Présidence de leur pays? Où donc est Superman? Voici un éditorial d’une professeure d’anglais.

Hier matin, les américains se sont réveillés avec la nouvelle que tous avaient cru impossible : Trump est le président élu de la population. Les américains ont-ils élu un vilain? Comment se peut-il qu’à la fois les sondeurs et les journalistes se soient trompés sur l’issue du vote? En fait, personne n’avait prévu une victoire aussi décisive! Quel est ce mystère? Se peut-il que la langue anglaise elle-même contienne la réponse à cette question? Ce pourrait-il qu’un seul mot fasse la différence? Le 5 mars dernier, dans une infolettre, j’avais déjà commencé à vous mettre sur la piste…

  1. Deux candidats mal perçus;
  2. Le rôle des médias;
  3. Est-ce la fin du monde merveilleux de Walt Disney?;
  4. Le mot trump et son impact subliminal dans le cas de « the Donald»;
  5. La transition des pouvoirs et la fin du « politically correct».

 

1. Deux candidats mal perçus

Allons droit au but. Après des primaires sanguinaires, où Trump a éliminé les candidats à la présidence en les humiliant et en les insultants, Trump arrive en tête de liste contre toute attente. La particularité de sa technique?

Trump ne respecte aucune règle, qu’elle soit écrite ou non écrite. Pourquoi? Parce qu’il les définit lui-même. Il considère la course à la présidence comme un « business deal ». Pour lui, en affaires, tout est permis.

Un peu de la même manière, selon la perception de la population en général, Hilary Clinton s’est hissée comme candidate contre Bernie Sanders, grâce à l’argent de l’establishment. Les histoires et les rumeurs relatives à ses courriels n’ont jamais diminué. Elle semblait aussi noire que son opposant Trump.

 

2. Le rôle des médias

Les médias n’ont pas su comment réagir face aux techniques de Trump. Nous avions vu, pendant la présidence d’Obama, Trump se mêlait déjà de politique. Il avait été à la tête de la rumeur qui voulait qu’Obama ait été élu frauduleusement. Il aurait été élu malgré le fait qu’il n’était pas né aux États-Unis. Cette rumeur était insensée. Pourtant elle a perduré pendant tout le premier mandat d’Obama. Ce dernier, excédé, a finalement publié son acte de naissance!

Les médias considéraient en fait que Trump n’était pas un candidat sérieux. Ils se sont mis à couvrir, jour après jour, toutes ses frasques! Au lieu de faire un travail journalistique et d’aller fouiller dans sa vie afin de ressortir des faits questionnables ou des scandales, ils se sont appliqués à faire ressortir ses propres contradictions. En effet. Il disait blanc le lundi et noir le mardi. Il disait vrai le jeudi et faux le vendredi. Peu importe les citations que les journalistes mettaient de l’avant, il disait toujours une chose et son contraire! En fait, les journalistes, en voulant rester neutres autant que possible pensaient que l’électorat saurait comprendre. Cependant, ce faisant, ils ont quotidiennement rapporté des situations. Ils ont mis Trump à l’avant-scène de l’actualité. Il était impossible d’écouter la radio, de lire un journal ou un magazine ou de regarder la télévision sans entendre parler de Trump.

 

3. Est-ce la fin du monde merveilleux de Walt Disney?

Pendant des décennies, le monde merveilleux de Walt Disney et la majorité religieuse américaine ont défini les normes de bienséance et d’éthique de la télévision et du cinéma. Les programmes ou les films finissaient toujours bien. Le héros, qu’il soit Superman ou Néo du film « the Matrix », triomphaient toujours. Le bien l’emportant toujours sur le mal. L’arrivée de médias indépendants comme HBO, Netflix et autres médias spécialisés ont commencé à présenter un côté moins reluisant des américains. Personne n’est parfait n’est-ce pas? On a présenté les malfaiteurs de la mafia comme des gens bien ordinaires, des gens comme tout le monde. On lève le voile sur des secrets de famille horribles, en comprenant que, sans doute, moi aussi dans les mêmes circonstances, j’aurais pu prendre une décision semblable. Même le nouveau film de Walt Disney, Dr. Strange, ne met en vedette un héros complètement blanc!

Trump lui-même est devenu un acteur de téléréalité dans son émission « The Apprentice »! Semaine après semaine il interviewait les meilleurs candidats pour des postes de direction fictifs. Il congédiait avec force tous les participants pour n’en garder qu’un seul ou qu’une seule… Gagner ce défi pour un candidat pouvait ouvrir les portes de grandes entreprises.

Les valeurs américaines sont donc en train de changer. Les choses, fort heureusement, ne sont plus complètement noires ou blanches… Un discernement plus raffiné est exigé. Les américains sont-ils prêts?

 

4. Le mot trump et son impact subliminal dans le cas de « the Donald »

Dans mon article de blogue du 5 mars dernier (il y a donc 8 mois) je vous ai parlé de publicité subliminale et du fait qu’il ne fallait pas diminuer l’impact du mot trump dans la présente campagne. Trump veut dire, en fait, réussir par tous les moyens. Bons ou mauvais, l’important c’est de gagner. Voilà la marque de commerce, le branding de Donald Trump. C’est ce qu’il fait depuis des années et des années.

Au point 1, j’ai mentionné que les deux candidats à la présidentielle étaient mal perçus de la population. Pourquoi Trump s’en soir aussi bien et pas Hilary Clinton? C’est tout simplement que Trump peut se permettre de dire n’importe quoi! Tout le monde s’y attend, même les journalistes soi-disant objectifs.

Quand Hilary Clinton tente d’utiliser les mêmes armes, ça ne colle pas! Elle doit rester « politically correct », c’est une dame de l’establishment. Mais à Trump on pardonne tout, tout lui est permis, son personnage doit gagner par tous les moyens! Les participants à ses rallies scandaient même : «  Lock her up! » Ce qui voulait dire : « Mettez-là en prison pour ses courriels! »Quand on lui reproche de s’être réjoui de la mauvaise fortune des familles qui perdaient leurs maisons en 2008 lors de la crise financière, Trump a répondu. C’est juste du business!!! En fait c’est ce que je fais tous les jours acheter les maisons des gens qui ont fait faillite.

 

5. La transition des pouvoirs et la fin du « politically correct »

Finalement, Trump est sans conteste un génie de son propre marketing, une image qu’il cultive depuis toujours. Il a gagné son pari par tous les moyens. Aujourd’hui, nous assisterons à la première rencontre entre Trump et Obama. Comment cela se passera-t-il? Certainement avec la plus grande des courtoisies.

Comment vous sentiriez-vous si vous étiez Obama?

Témoignage de Éric Boisvert, gestionnaire

 

Éric a terminé son cours en septembre 2016

Comme gestionnaire de diverses entreprises, je me devais de lire, d’écrire, d’écouter et de communiquer en anglais. J’avais comme beaucoup de gens, la perception de faire tout cela assez bien, quoique je ressentais de l’inconfort.

De fait, je ne vivais pas seulement de l’inconfort…

Comme une majorité des Québécois, je traduisais ce que je pensais bien comprendre. Je pensais comprendre alors qu’en fait, je comprenais mal, je me faisais de fausses images de ce que l’on me disait. Pire encore, je ne pouvais dire que peu de choses qui avaient réellement du sens pour mes interlocuteurs.

Le saviez-vous? Les Anglophones ne corrigent pas les erreurs, car reprendre quelqu’un est une grande marque d’impolitesse, pour eux. Donc, je baragouinais des choses sans que personne ne me reprenne… Ouf.

Depuis, que j’ai débuté ma formation à l’Académie Doyle, ma compréhension de ce qu’est la BONNE façon de s’exprimer et de comprendre l’anglais a complètement changé. Je suis très fier d’être officiellement de la promotion septembre 2016 et d’avoir gradué mon cours avec mention.

Aujourd’hui, comme tous les jours, j’ai du plaisir à lire, à écrire, à écouter et à discuter en anglais.

Je comprends mieux la réflexion que font les anglophones dans leur langue ce qui est VRAIMENT différent de notre réalité comme francophone. En fait, les anglophones et les francophones pensent différemment. Quelle découverte! Croyez-le ou non, bien interagir avec les anglophones me comble. Ça me rend tout simplement heureux!

Éric Boisvert,
Gestionnaire, Impartition Stratégique, Impression Stratégique, Élite Coach

Créer une « boîte » anglaise dans votre cerveau avec les connexions neurologiques appropriées

 

Dans la dernière chronique, nous avons vu comment, les enfants exposés dans leur jeune âge à 2 langues, se créent naturellement une boîte pour chaque langue. Par exemple, l’enfant qui a une mère francophone et un père anglophone, va développer 2 boîtes langagières. Il va s’exprimer en français avec sa mère et en anglais avec son père. Logique n’est-ce pas?

Voici la question qui tue : Pourrait-on enseigner aux adultes à se créer une deuxième ou troisième boîte langagière comme les enfants le font?

 

La plupart des spécialistes à qui vous allez poser la question vont vous dire que cette flexibilité du cerveau de l’enfant en bas âge, n’existe plus à d’autres âges de la vie. Si ce moment précieux dans le développement de l’enfant n’a pas été sollicité au bon moment, et bien, c’est trop tard !

À l’Académie Doyle Inc. L’Apprentissage Permanent des Langues©, nous pensons différemment. En effet, c’est non seulement ce que nous préconisons, mais de plus, c’est ce que nous faisons. Avec nos étudiants, nous entreprenons un voyage linguistique de 152 heures qui les mènera à l’autonomie. En suivant notre méthode simple et logique fondée sur les neurosciences, ils arriveront à créer, nourrir et entretenir cette boîte. C’est en fait, l’élément clé qui nous permet de dire que l’apprentissage devient permanent.

Excitant? Pour nous, ça l’est !

Cet apprentissage passe par 3 étapes. Premièrement, les fondements de la langue. En effet, il nous faut revoir les éléments de grammaire essentiels à la maîtrise de la langue. Par exemple, pour nous, les temps de verbes d’une langue représentent l’épine dorsale qui va transporter mes idées correctement. Deuxièmement, pendant l’appropriation, nous allons  avec nos connaissances grammaticales, apprendre à former des phrases et nous exprimer de mieux en mieux. Finalement, l’intégration et la consolidation nous permettent de plonger, en anglais, dans notre propre vie et nos propres expériences. Nous vivons la langue Nous nous exprimons avec facilité et avec fluidité.