Les habitudes quotidiennes produisent des effets à long terme sur le cerveau

Les habitudes quotidiennes produisent des effets à long terme sur le cerveau

8 octobre 2024

Depuis 2005, l’une des caractéristiques les plus importantes à l’Académie Doyle est la création d’une routine quotidienne toute spéciale que nous imposons à notre cerveau. Cette technique permet à moyen terme, d’utiliser les neurones que notre cerveau produit chaque jour (neurogénèse) et, avec le temps, de modifier les connexions et circuits neurologiques, afin de créer une nouvelle «boîte langagière» (neuroplasticité) connectée au corps.

Cette étude publiée aujourd’hui même dans le Neuroscience News va dans le même sens. Elle a été faire par la chercheure Sarah Hudson et son équipe, sur une durée de 5 mois. Mme Hudson a utilisé des scans, des appareils portables intelligents et des téléphones intelligents sur elle-même.

La chercheure et son équipe ont pu démontrer que les connexions du cerveau s’ajustent sur une période de temps et sont influencées par le rythme cardiaque, la respiration et l’activité physique. Par exemple, la gestion du stress par la relaxation a un impact sur les connexions neurologiques.

La francisation, outil d’intégration des nouveaux arrivants

La francisation, outil d’intégration des nouveaux arrivants

17 février 2023

Recruter de nouveaux arrivants et les intégrer est une réalité pour de plus en plus d’entreprises. La francisation fait partie de ce défi puisque les PME sont soumises à des règles bien précises en matière linguistique, notamment l’établissement d’un processus de francisation en entreprise.

Selon la Charte de la langue française, « pour les entreprises qui emploient 25 personnes ou plus au Québec, la loi propose une démarche et des délais pour que l’implantation du français soit au cœur des activités québécoises de ces entreprises. »

Ainsi, la direction et les membres du personnel des entreprises doivent veiller à généraliser l’utilisation du français dans leur milieu au Québec.

Crédit photo : Retravail

Entrevue à l’émission Pleins Feux sur Québec

Entrevue à l'émission Pleins Feux sur Québec

Épisode du 12 novembre 2022

On parle de la méthode d’enseignement, du parcours de Mme Susan Doyle et ce qui l’a amenée à fonder l’Académie Doyle.

Apprendre l’anglais ou le français grâce à la neuroscience

Apprendre l'anglais ou le français grâce à la neuroscience​

Un article de Céline Fabriès, Le Soleil

Des dizaines de personnes du milieu des affaires ont pu signer des contrats à l’étranger ou obtenir un poste grâce à l’apprentissage de la méthode Doyle.

C’est le cas de Marie-Ève Poulin. Avant les cours, elle travaillait pour Sunlife comme directrice adjointe à Québec. Elle souhaitait obtenir un poste au siège social situé à Toronto, mais son niveau d’anglais n’était pas assez bon pour postuler.

Elle décida de suivre les cours de Susan Doyle. «Ça a changé ma vie…»

Vous pouvez lire l’article dans sa totalité en téléchargeant le document .PDF disponible ci-dessous ou en suivant ce lien.

Crédit photo : Patrice Laroche

Il ne faut pas craindre d’apprendre une seconde langue – entrevue

Il ne faut pas craindre d’apprendre une seconde langue (entrevue)

Lettre ouverte de Susan Doyle, Le Journal de Montréal

La croyance populaire, au Québec, veut que le fait d’apprendre une langue seconde, nuise à la langue maternelle et entraine sa dégradation, voire sa disparition. Or, scientifiquement, il n’en est rien. Non seulement apprendre adéquatement une langue seconde est une force, mais cela permet également de solidifier les bases de notre langue maternelle.

Crédit photo : Adobe Stock

Il ne faut pas craindre d’apprendre une seconde langue

Il ne faut pas craindre d’apprendre une seconde langue

Lettre ouverte de Susan Doyle, Le Journal de Montréal

L’Office québécois de la langue française (OQLF) publiait récemment les résultats du Portrait du revenu d’emploi au Québec, selon les langues utilisées au travail. Cette étude conclut que le salaire annuel moyen des Québécois qui maîtrisent les 2 langues officielles est de 51 294 $, soit 5000 $ de plus que le revenu des unilingues. Pourtant, selon Statistique Canada, seulement 36 % des Québécois francophones se disent bilingues. Pourquoi si peu?  

Je ne vois qu’une chose : la peur injustifiée comme quoi l’apprentissage de l’anglais se ferait au détriment de notre français.

Crédit photo : Adobe Stock

Quand travailler en anglais rime avec de gros salaires

Jean-Paul Perreault (Crédit Photo Agence QMI, Marc Desrosiers)

Quand travailler en anglais rime avec de gros salaires

Un article de Hélène Schaff, Le Journal de Montréal

Parler français et anglais, mais aussi seulement l’anglais, au travail, c’est généralement plus payant au Québec que de parler uniquement le français. Voilà le constat d’une étude qui vient d’être publiée.

« C’est insultant et carrément inacceptable de constater que la personne qui utilise uniquement l’anglais au Québec gagne plus cher que la personne qui utilise uniquement le français », s’indigne Jean-Paul Perreault, président d’Impératif français, un organisme de défense et de promotion du français.

Selon l’étude, réalisée par l’Office québécois de la langue française (OQLF) à partir des données du recensement de 2016, les personnes qui utilisent uniquement l’anglais au travail gagnent en moyenne 46 047 $ par année, soit 20 % de plus que le revenu moyen de 38 346 $ de celles qui utilisent seulement le français.

Crédit photo : Agence QMI – Marc Desrosiers

Témoignage de Stéphane Migneault

Diplômé à l’automne 2018

M. Stéphane Migneault est un psychologue clinicien, mais il est aussi un formateur pour différents intervenants en santé mentale. Il a créé des contenus variés et sa manière de transmettre les informations lui est unique. Il est un chaud partisan de la thérapie brève. Il aime beaucoup cette partie de son travail.

En débutant son cheminement vers l’Autonomie à l’Académie Doyle, son rêve était de pouvoir faire sensibiliser d’autres psychologues et travailleurs sociaux anglophones aux bénéfices de la thérapie brève. Maintenant, il peut bâtir ses propres formations directement en anglais sans les traduire.

Une autre mission accomplie pour Stéphane Migneault et l’Académie Doyle.

15 points à retenir du cheminement Vers l’Autonomie en anglais à l’Académie Doyle

À l’Académie Doyle, nos étudiants apprécient-ils leur cheminement? Voici 15 points qu’ils ont relevés dans leur cheminement Vers l’Autonomie

  1. Pas de « par cœur »? C’est la chose la plus incroyable dans une méthode pour l’apprentissage de quoi que ce soit.
  2. Nous expérimentons l’apprentissage de la langue à partir de notre propre vécu, ce qui est plus motivant que de faire des exercices.
  3. L’humilité… c’est parfois le sentiment que nous ressentons quand nous prenons conscience du fait que nous n’étions pas si bons que ça en anglais!
  4. Pas besoin de traduire, en fait, nous pensons directement en anglais, nous sommes vraiment confortables.
  5. Nos interlocuteurs affirment que nous avons une solide compréhension des temps de verbes en anglais. Ce que nous disons est clair.
  6. Nous sommes capables de suivre notre progrès par la production hebdomadaire de textes écrits. Semaine après semaine, l’ordre des mots change dans la phrase. Nous pensons en anglais.
  7. Nous avons du plaisir à retrouver et à échanger avec nos collègues, à chaque semaine.
  8. L’internet nous permet de suivre les cours à partir de n’importe où. Que nous soyons en voyage d’affaires ou non : pas de déplacements dans la circulation, pas de stress.
  9. Nous apprenons des techniques de travail que nous pouvons utiliser avec succès dans notre propre profession.
  10. Nous sommes maintenant des étudiants avancés. Nous avons réussi cet exploit en 152 heures.
  11. Seulement 15 minutes de devoirs par jour? Comment est-ce possible? Mais ça marche!
  12. À cause de l’effet exponentiel du travail spécifique de 15 minutes par jour, nous avons réussi à construire notre « boîte anglaise ».
  13. C’est incroyable, nous avons même appris des nouvelles choses sur nous-mêmes, en repositionnant notre vie en anglais.
  14. Nous avons du plaisir à voyager et à vivre notre vie en anglais… aussi bien qu’en français.
  15. Nous avons obtenu des résultats vraiment rapidement. Ces résultats sont permanents!

Connaissez-vous votre «pourquoi»? – Parcours avancé en anglais

Imaginez un monde où

  1. Nous nous réveillons motivés, inspirés et heureux d’aller au travail
  2. Nous nous sentons bien et en sécurité
  3. Qu’à la fin de la journée, nous sentons que
  • non seulement nous avons accompli un travail passionnant
  • mais aussi que nous nous sentons pleinement satisfaits de notre journée

En commençant avec notre pourquoi les leaders et les chefs d’entreprises peuvent vraiment devenir ce qu’ils sont appelés à être. Ils mettent leurs employés en premier.

À 44 ans, Simon Sinek est déjà un spécialiste international du leadership.  Né Angleterre il a une double nationalité : britannique et américaine.

Son livre, Start with Why a connu un succès retentissant dès sa publication en 2009.

En 2017, il nous offre un cahier d’exercices assorti très bien fait.

J’ai lu ce livre pendant l’été et il est vraiment inspirant. Il nous amène à nous arrêter et à réfléchir. En tant que leaders et chefs d’entreprises, nous prenons rarement le temps de nous arrêter. De plus, ce sujet m’intéresse particulièrement parce que Sinek développe certains aspects du leadership en utilisant les neurosciences. Wow! C’est donc pour toutes ces raisons que j’offre cette formation dès l’automne, à nos étudiants gradués.